Voici comme promis l’extrait de mon récit intitulé : « Quand l’amour de la terre, est le talon d’Achille de l’homme… »
J’ai l’espoir que : toutes les prisons du pays auront été détruites et remplacé par des palaces 5 étoiles somptueux réservés à nos ainés, qui seront traités, comme s’ils étaient Louis XIV. J’en suis persuadé, la prophétie se réalisera, un jour ou l’autre : celle que toutes les prisons seront transformées en résidences secondaires luxueuses, aux allures du Château de Versailles pour nos anciens. Comme, dorénavant, tous les hommes auront tous une vie de prince, les prisons n’auront plus lieu d’être, comme aucun prince n’a sa place en prison !
En cadeau, cet autre extrait, avec mes meilleures salutations.
Souvenez-vous, ce pays merveilleux, je vous y ai déjà amené. Puisque j’y travaille dans ce paradis terrestre et que je suis le serviteur de cet éden. Je vous ai servi vos assiettes qui contenaient tout l’or que regorge cette terre fertile. J’ai versé dans vos verres, tout l’amour de ses vignes qui vous a enivré de plaisir. Dans ce jardin de la magnificence, où on n’y sème que le meilleur, on n’y trouve des fleurs, des plantes et des arbres tels que : la liberté, la sécurité, la prospérité, la paix, le pardon, la bonté, la joie, la bienveillance, la bienfaisance, la béatitude, la plénitude, l’élégance, l’épanouissement, la tranquillité, le respect, la gentillesse, la beauté, la douceur, la tendresse, l’extase, le bien-être, et, bien sûr, l’Amour. J’ai arrêté le temps dans votre vie, pendant l’espace de quelques instants pour vous faire rentrer dans ce verger fastueux. Mais oui, quand vous étiez sur ma terrasse, par cette belle journée ensoleillée d’été. Assis confortablement autour d’une table, accompagné de vos proches, votre sourire rayonnait à travers l’univers tout entier, comme un soleil dont la fureur de vivre est inégalable. Une brise légère caressait votre peau. Vous étiez au pays de Cocagne…
CC le 15 janvier 2019